7 voyageurs sur 10 déclarent avoir déjà déjà évité un voyage (que ce soit à cause de la destination ou du transport) à cause d’un « scepticisme sur l’engagement réel dans des pratiques durables ».

voyageurs sur 5 indiquent aussi avoir opté pour un mode d’hébergement ou de transport plus respectueux de l’environnement.

l’impact environnemental d’abord (69% des voyageurs interrogés), le soutien aux économies locales ensuite (66%), le soutien aux cultures et communautés locales ensuite (65%) et enfin la visite de destinations méconnues (52%).

72 % des voyageurs français confirment l’importance pour eux de voyager de manière durable, tandis que 43 % déclarent que les actualités liées au changement climatique les ont inspirés

27 % des voyageurs affirment avoir séjourné dans un hébergement durable au cours de l’année écoulée.

25 % des Français révèlent qu’ils ont préféré voyager en basse saison pour éviter le tourisme de masse]b.

Trois Français sur cinq (60%) déclarent avoir l’intention de voyager en France au cours des 12 prochains mois. Et plus d’un tiers (38%) a prévu de partir à l’étranger.

Quant aux 55 ans et plus, ils sont particulièrement nombreux à envisager un voyage en France (63%).

72% des voyageurs français confirment l’importance pour eux de voyager de manière durable.

Pour 75 % des Français interrogés, la dégradation de l’environnement socio-économique, la guerre, les craintes sur le pouvoir d’achat, la hausse des carburants… les incitent à prévoir leurs prochaines vacances dans l’Hexagone plutôt qu’à l’étranger.

Le pouvoir d’achat se positionne en 1er (31 %) talonné par la hausse du coût de l’essence (29 %).

La Covid n’a pas disparu des préoccupations des Français et supplante largement la guerre Russie/Ukraine (21 % vs 14 %). Les élections se classent en dernier (5 %)

Selon Sportihome, 70% des sportifs choisissent leur destination en fonction de leur discipline

40% de nos compatriotes pratiquent régulièrement une activité sportive (source : Tourisme sportif - Elya Editions), ce qui impacte significativement la façon dont ils organisent leurs vacances.

le tourisme sportif se porte bien.

63% des Français envisagent de partir en vacances cet été 2022, contre seulement 35% l’année dernière à la même date.

63% des partants privilégieront des vacances balnéaires.

La montagne et la campagne arrivent ensuite à égalité avec 14% des intentions de départ chacun. 62% des Français consacreront le même budget qu’habituellement à leurs vacances mais plus d’un quart (27%) envisagent de dépenser plus pour leurs vacances estivales 2022.

la relocalisation du tourisme est une tendance de fond qui a débuté avant la pandémie, s'est accélérée avec la crise sanitaire et qui pourrait bien se poursuivre.

les Français privilégieront l'Hexagone à hauteur de 60% lors de la période estivale.

Les zones urbaines sont de retour, en reprenant la 2e place à celles rurales

En 2022, les deux semaines de vacances devraient faire leur comeback, et plus de la moitié des vacanciers partiront quinze jours consécutifs ou plus, tandis que nombre d'entre eux prévoient plusieurs séjours estivaux.

9 vacanciers français sur 10 dépenseront plus qu'à l'accoutumée (avant la pandémie) pour leurs vacances : en moyenne 1 500 euros de plus par personne.

compenser le manque d'escapades à l'étranger au cours de ces deux dernières années.

Malgré la pandémie et le conflit en Ukraine, l’envie de voyager demeure extrêmement forte.

Trois Européens sur quatre (77%) ont l’intention de faire un voyage entre les mois d’avril et septembre, les destinations méditerranéennes étant les plus attractives.

Sur tous les marchés analysés, les répondants d’Italie, d’Espagne, de Pologne, du Royaume-Uni et d’Allemagne sont les plus optimistes à l’idée de partir en voyage (supérieur à 80%).

L’année 2022 semble bien partie pour être celle de la reprise de l’industrie du tourisme, y compris en France.

La clientèle domestique, elle, se montre également davantage présente dans toute la France, « avec des niveaux de nuitées globalement proches de ceux de 2019 »

La location de particulier à particulier « rebondit en termes d’offre comme de demande », la clientèle délaissant les hébergements collectifs, selon Atout France.